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Sethi 1er
23/01/2010 07:25
Nouvel Empire, XIXème dynastie. Il régna de -1292 à -1279 avant J.-C.
Parents: Le pharaon Ramsès Ier et sa Grande Epouse Royale Satrê.
Successeur: Ramsès II, son fils.
Fils de Ramsès Ier et de SatRê, Sethy Ier naquît probablement au début du règne d’Horemheb voire même pendant celui d’Ay. A cette époque, la noble famille vivait en Basse-Egypte, dans la région du delta du Nil, sûrement près de la ville d’Avaris, l’ancienne capitale Hyksôs. Jeune guerrier, plein de bravoure et d’esprit tactique, il débuta une brillante carrière militaire sous le règne d’Horemheb. On pense d’ailleurs que ce dernier ne choisit pas par hasard Ramsès Ier comme son successeur. Il remarqua sans doute une âme de grand pharaon à l’intérieur de Sethy Ier. D’autre part, rappelons que, déjà sous le règne d’Horemheb, le jeune soldat était le père d’un enfant, le futur Ramsès II. C’est la raison pour laquelle, en nommant Paramessu (Ramsès Ier) à la tête du pays, Horemheb savait que l’avenir de l’Egypte serait assuré dans un futur plus ou mois lointain. En tant qu’habile politicien, il voyait sans doute là l’avènement d’une nouvelle dynastie ! Il ne savait pas à quel point il avait raison ! Sous le bref règne de son père, il est fort probable que Sethy Ier fut déjà vizir et portait le titre de « prince régent ». On avait donc, comme pour Horemheb et Ramsès Ier, un phénomène de corégence visant à faciliter le plus possible la succession. Nous ne disposons que de très peu de données concernant les activités de l’héritier du trône sous le règne de son prédécesseur. Seules quelques traces subsistent à l’intérieur de textes dédicatoires à son père ; notamment grâce à la stèle de Bouhen, réalisée en l’an I du règne du tout récent pharaon. A la mort de Ramsès Ier, lorsqu’il prit le pouvoir, Sethy Ier était âgé d’environ une trentaine d’années. Il était déjà marié à Touya (ou Touy), mère de Ramsès II. Celle-ci, issue d’une famille militaire, possédait une forte personnalité, avec beaucoup de sagesse et influença grandement les actions de son mari et de son fils. Elle mourut dans la 23ème année du règne de Ramsès II ; donc bien après son époux. Peu de temps après son avènement, Sethy Ier dut faire face à une révolte des pays voisins de l’Egypte, jusque là soumis. Il organisa donc une vaste campagne militaire pour rétablir l’ordre aux frontières du royaume. Les batailles se soldèrent par une écrasante victoire du pharaon. Cette dernière est d’ailleurs contée sur le mur sud de la grande salle hypostyle du temple de Karnak. D’autres guerres furent lancées, comme par exemple contre les Hittites ou leurs alliés, afin de repousser au maximum les limites du territoire et garantir au mieux la sécurité du pays. La visée d’expansion du territoire de Sethy Ier pouvait donc se voir comme une volonté de maintenir à distance ses ennemis afin d ‘assurer à l’Egypte un calme et une paix nécessaires à sa prospérité. Cependant, certains peuples, dont les Hittites ou le peuple de Qadesh, ne l’entendirent pas de cette façon et cherchèrent à amplifier les foyers de révolte dans de nombreux territoires soumis. Son fils, Ramsès II, héritera de ce climat de tension et devra le solutionner. Outre cet aspect guerrier, Sethy Ier était aussi et surtout un grand bâtisseur ! De grandes constructions ont été réalisées durant son règne. Elles resteront d’ailleurs, pour beaucoup, les plus belles de l’Egypte ! Ce pharaon nous a légué par exemple le fabuleux Grand Temple d’Abydos. Construit en calcaire fin, il présente une forme particulière en L. Il fut ordonné et débuté par Sethy Ier puis achevé par Ramsès II.

Les portiques et pylônes situés à l’entrée de ce temple sont quasiment détruits. On accède donc rapidement à la première salle hypostyle qui présentait à l’origine sept portes dont quatre ont été murées puis décorées par Ramsès II. En continuant notre chemin, nous arrivons à une seconde salle hypostyle comprenant également sept portes qui aboutissent à sept lieux de culte dédiés à Sethy et à un dieu différent à chaque fois. Une salle supplémentaire fut, quant à elle, dédiée à Osiris (Osireion). Les bas-reliefs sont certainement les plus beaux d’Egypte. Son temple funéraire de Gournah, situé à l’ouest de Thèbes, est lui aussi, sur bien des points, tout à fait remarquable. Notamment grâce à sa situation, qui en faisait un lieu de culte de choix lors des fêtes religieuses. Il se situait en effet au bord d’un canal menant directement au temple de Deir el-Bahari, étape finale de la procession. Une autre de ses grandes réalisations fut certainement la Grande Salle Hypostyle du temple de Karnak. Il s’agit d’une immense salle de 102 mètres de long et de 53 mètres de large où se dressent, sur 16 rangées, 134 colonnes papyriformes d’une hauteur de 14 à 24 mètres. La décoration, très impressionnante, fut réalisée par étapes, chaque pharaon apportant sa pierre à l’édifice. Certains ont par exemple rajouté des pylônes ou d’autres ont inscrit le récit de leurs batailles victorieuses (Ramsès II et la bataille de Qadesh par exemple). Tout ceci fait de ce temple une des plus grandes merveilles de l’Egypte Antique. Le règne de Sethy Ier dura ainsi un peu moins de quinze années. Si l’on considère qu’il monta sur le trône vers l’âge de 30 ans, sa mort aurait eu lieu autour de la cinquantaine. Certains spécialistes pensent que, Ramsès II, son successeur, était déjà corégent sous le règne de son père. Cette hypothèse s’appuie sur le texte d’un bas-relief situé sur le temple de Gournah où l’héritier est décrit au côté du pharaon lors d’une scène de couronnement. Ainsi, a priori, à la mort de Sethy Ier, la transition s’est faite simplement avec son fils, Ramsès II, déjà corégent du royaume. Il continuera les actions entreprises par son père en honorant sa mémoire.
Il fut enterré dans la tombe KV 17 de la Vallée des Rois. Comme pour Ramsès Ier, elle fut découverte par l’explorateur italien Giovanni Belzoni en 1817. Dès l’Antiquité, ce tombeau fut pillé comme de nombreux autres. C’est d’ailleurs certainement pour cette raison que la momie du souverain fut déplacée dans la cachette royale de Deir el-Bahari. Ce n’est qu’en 1881 (64 ans après la découverte du tombeau) que le corps de Sethy Ier fut découvert et extrait de la fameuse cachette de Deir el-Bahari. L’analyse de son état confirme l’hypothèse d’une mort autour d’une cinquantaine d’années.
Commentaire de salie001 (10/03/2021 16:57) :
Je trouve votre site hyper génial, je vous souhaite pleins de succès car
vous le méritez, bonne continuation et encore bravo pour ce superbe site !
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Amenhotep III
22/01/2010 08:12
Nouvel Empire, XVIIIème dynastie. Il règne de 1392 à 1355 avant J-C.
Le pharaon Thoutmosis IV et sa Grande Epouse Royale Moutemouya.
Amenhotep IV, son fils, qui prend ensuite le nom d’Akhenaton. Trop jeune lorsqu’il accède sur le trône, c’est sa mère Tiy qui assure la régence.
Amenhotep n’a que 12 ans lorsqu’il accède au trône d’Egypte, succédant à son défunt père Thoutmosis IV, mais son règne s’étendra sur 38 ans, lui laissant le temps de fêter trois fêtes Sed, symbole de régénérescence du pouvoir royal. Sa Grande Epouse Royale fut la reine Tiy, filles de notables d’Akhmîm, Youya et Touya. Cette reine est très présente dans la politique du roi. Elle est assimilée à la déesse Hathor en tant que parèdre du roi, qui est l’Horus régnant sur les hommes, et parfois à la déesse Mout, parèdre du dieu dynastique Amon. Six enfants naissent de ce couple royal : deux garçons, un Thoutmosis qui meurt sans régner, et le futur Amenhotep IV, et quatre filles dont Isis et Satamon qui assureront les fonctions rituelles de reine. Depuis le règne de son père Thoutmosis IV, une menace s’affirme au nord, sur le plateau de l’Anatolie. Le royaume Hittite est une puissance grandissante qui permet le rapprochement des ennemis d’antan. En effet une réconciliation apparait entre Mitanniens et égyptiens, une alliance est nécessaire pour affronter au mieux la menace l’ennemi du nord. Comme son père, Amenhotep marque cette alliance en épousant une princesse mitannienne du nom de Giloukhépa et une autre princesse babylonienne. En revanche le roi décide d’affirmer sa présence au sud, en Nubie, en installant des temples dédiés au dieu Amon-Rê de Karnak, mais aussi dédiés au culte du roi et sa reine Tiy. Amenhotep y prend la forme divine lunaire, en tant que Neb-Maât-Rê Seigneur de la Nubie, et Tiy sous la forme de la déesse Hathor, une thématique reprise à l’époque ramesside pour les temples d’Abou Simbel. La reine voit son poids institutionnel renforcé. Dès le début de son règne, une série de Scarabées commémoratifs de 15 cm de long contre 10 cm de large, portant une inscription sur la face plane, sont répandus dans les zones sous influences égyptiennes. Il en existe cinq types et 250 exemplaires ont été retrouvés :
- Les Scarabées dit du Mariage en raison de la mention de la reine Tiy, présentant plutôt un état des lieux après les conquêtes égyptiennes, datent de l’an 1.
- Les Scarabées de la Chasse aux taureaux sauvages, témoignant de la lutte contre le taureau séthien, datent de l’an 2
- Les Scarabées de la Chasse aux lions, datent de l’an 1 à 10
- Les Scarabées du Mariage avec la princesse mitannienne Giloukhépa accompagnée de 317 femmes, datent de l’an 10
- Les Scarabées du Bassin Artificiel, creusé pour la reine Tiy dans la région d’Akhmîm, datent de l’an 11.
- Ces scarabées étaient des supports d’information diffusés au-delà des frontières du Double-Pays.
L’apogée de l’art égyptien naît sous le règne de ce pharaon respectueux de ces ancêtres. Les types statuaires se multiplient, associant le quartzite, roche de couleur rouge associée au soleil et la granodiorite de couleur noire associée à la terre fertile. Plus de 1000 statues royale et divine ont pu être découverte, à l’effigie de la déesse lionne Sekhmet, du babouin Thot, d’autres encore de Nephtys ou Anubis, tous des thèmes nouveaux de l’art statuaire. Parmi le thème statuaire, les statues royales se retrouvent en grand nombre, dont 45 colosses de plus de 3m de hauteur, et de nombreux ouchebtis. Ce développement statuaire traduit une idéologie nouvelle de la conception du pouvoir. Les statues royales sont des monuments cultuels, les colosses sont désignés comme « image vivante » (« tout-ankh »). Le roi se rapproche du dieu créateur, il n’est plus seulement son fils, il devient sa représentation, on parle alors de divinisation ou déification du roi de son vivant. Durant ses dernières années de règne, les statues à son effigie présente un roi jeune. Ces traits rajeunis témoignent du rajeunissement royal obtenu lors de la fête Sed, dite fête du Jubilé. Amenhotep III confie à Amenhotep fils de Hapou et Nebmertouf la tâche de lire les textes de l’Ancien Empire pour fêter le Jubilé selon la tradition ancienne. Ce travail de retour aux sources leur vaut d’être estimé par le roi et d’être ainsi représentés auprès de lui lors des trois jubilés de l’an 30, de l’an 33 et de l’an 36. Du côté des constructions, Amenhotep III laisse sa marque sur le Grand Temple d’Amon à Karnak. On lui doit la déviation de l’axe nord-sud, dit axe royal, en implantant le dixième pylône en correspondance avec l’entrée du temple sur l’axe est-ouest dit axe divin. Son projet était d’ériger deux colosses de 21 m de haut à son effigie au devant, un seul sera implanté, il n’en reste qu’un fragment de pieds de grandes dimensions. Il démonte les monuments présents dans la cour, la Chapelle Blanche de Sésostris 1er et la Chapelle Rouge d’Hatchepsout, et l’utilise pour combler son pylône. Il installe également une colonnade (celle qui se trouvera au cœur de la grande Salle Hypostyle), afin d’offrir un accès monumental à l’entrée du temple. Il installe encore le troisième pylône et démonte tout ce qui se trouve dans la cour, comblant ainsi son pylône de monument tel que la Chapelle Blanche de Sésostris 1er et la Chapelle Rouge d’Hatchepsout. Au lieu dit Opet, il fait ériger un temple à colonnade, en incluant dans son complexe la chapelle-reposoir de barque d’Hatchepsout. Il s’agit du temple de Louqsor, visité chaque année par les statues de la triade thébaine (Amon, Mout et Khonsu) lors de la fête d’Opet, durant une quinzaine de jour. Le reste du temps, un culte était rendu au roi divinisé, d’où la reprise du thème de la théogamie, déjà dépeint sur les parois du temple d’Hatchepsout à Deir El-Bahary. Le dieu Créateur Amon prend l’apparence du roi Thoutmosis IV pour s’unir à la Grande Epouse Royale Moutemouya, Amenhotep III est alors considéré comme fils charnel du dieu. A Thèbes ouest, à Malgata, il fait ériger un immense palais royal, et y creuse un lac artificiel en l’honneur de son épouse Tiy, et il est possible qu’il fut également utilisé pour faire des courses de char. Thèbes ouest accueille le temple de millions d’années, l’Amenophium, improprement appelé temple funéraire. Ce temple au culte royal, est utilisé comme reposoir de barque pour la statue d’Amon lors de ses différentes haltes lors de la Belle Fête de la Vallée. Le roi mort est transporté dans ce palais avant sa momification, et il reste possible que la momification ait pu avoir lieu au sein même de ces temples. Ils sont caractéristiques des rois du Nouvel-Empire. Son entrée est aujourd’hui visible grâce à l’imposante stature des deux colosses dit de Memnon. Fissuré par un séisme, le colosse nord émettait des sifflements aigus au lever du jour. A l’époque grecque, ce monument est associé à Memnon, héro grec tué par Achille dans l’Iliade, et implorant sa mère l’Aurore. Ce lieu attirait de nombreux pèlerins qui venaient consulter l’Oracle de Memnon. Durant l’époque romaine, Septime Sévère le fait restaurer le privant de sa voix à jamais. L’Amenophium, placé à la limite du désert et des terres cultivables, a énormément souffert. Les blocs de gré le constituant, baignant tous les ans dans les eaux de la crue, ont fini par éclater, à tel point qu’il est démantelé après la XXe dynastie. Mais ce temple des millions d’années, le plus grand connu à ce jour (550m de long contre 700m de large) aura accueilli les trois fêtes jubilaires du roi. D’ailleurs, Amenhotep fils de Hapou, architecte d’Amenhotep III, scribe royal sous les ordres directs du roi, et scribe royal à la tête des recrues (il recrute les hommes pour les expéditions et pour les grands travaux), aussi Chef de tous les Travaux du roi, est chargé d’organiser le premier Jubilé du roi, normalement une tâche exclusivement réservée au premier héritier du roi (Amenhotep IV). Les privilèges de ce grand personnage ne s’arrête pas là puisqu’il a installé des statues cultuelles de lui-même dans plusieurs temples d’Egypte, comme à Athribis son lieu d’origine, et dans les différents complexes de Karnak, jouant alors le rôle d’intermède entre les hommes et les dieux. Autre fait unique pour un personnage non-royal, Amenhotep fils de Hapou possède son propre temple des millions d’années, érigé tout près de celui d’Amenhotep III. Sa tombe, pas retrouvé, aurait été creusé dans la vallée des rois, et des fragments de son sarcophage, eux retrouvés, présentent des dimensions royales. Son importance est telle qu’il devient aussi célèbre qu’Imhotep, et devient lui aussi un protecteur, un sauveur. A la mort d’Amenhotep III, une certaine Egypte disparait. L’unité politique et religieuse d’une Egypte respectée au-delà de ses frontières se voit bouleversé par le cours règne de son fils, Amenhotep IV, remettant en question le temporel et la spiritualité, fondement de la théologie égyptienne. Cette tombe décorée selon le Livre de l’Amdouat sur fond bleu-gris, n’échappe pas au pillage de la XXIe dynastie. Sa momie est retrouvée par Victor Loret en 1898 dans la tombe d’Amenhotep II qui fut réutilisé comme cachette de momie royale, elle présente un homme d’une cinquantaine d’année ayant succombé à la maladie b. Dans cette cachette la momie d’une femme âgée a été authentifiée comme celle de la reine Tiy.
Commentaire de salie001 (10/03/2021 17:04) :
Je suis vraiment fière de vous découvrir, votre blog est vraiment super !
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Les Soleils de Nefertari by Michelle Moran
22/01/2010 07:33
Résumé de l'Histoire:
Un vent de changement souffle sur la ville de Thèbes. Un incendie a emporté toute la famille royale, à l'exception de la petite Néfertari, nièce de Néfertiti. Descendante de l'ancienne famille régnante qualifiée d'hérétique par la nouvelle dynastie, Néfertari devient une paria et erre seule dans les couloirs déserts du palais. Jusqu'au jour où la tante du pharaon décide de la prendre sous son aile et lui offre une éducation digne d'une princesse. Ensorcelé par le charme irrésistible de Néfertari, le fils du pharaon, le futur Ramsès II, décide de l'épouser malgré l'opposition du peuple d'Egypte. Dotée d'une intelligence politique exceptionnelle et d'une détermination farouche, la jeune Néfertari parvient à s'élever au-dessus des intrigues de cour et à s'imposer comme la reine d'Egypte. Elle entrera dans l'histoire en devenant la meilleure alliée de Ramsès II, l'aidant à surmonter les épreuves d'un règne tumultueux.
Commentaire de alexia (26/04/2011 23:19) :
j'ai adorée ce livre ^^, je l'ai lu d'une traite !!!
j'aime bien la rivalité entre néfertarie et isis-néfret =DDD !!!!
Ramses est le type même du beau prince charmant ^^ !! au fait j'adore
ton blog, il est très complet ^^^surtout continue ^^
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Commentaire de salie001 (10/03/2021 17:04) :
Merci pour ce très bon site, vraiment un panaché de bonnes et intéressantes
idées. Surtout continuez ainsi. Bon courage
Cordialement
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