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Le Calendrier Egyptien
25/01/2011 13:19
Le calendrier de l'Égypte antique, (également appelé calendrier nilotique) était axé sur les fluctuations annuelles du Nil et avait comme but premier la régulation des travaux agricoles au cours de l'année. Les Égyptiens définissaient d'ailleurs l'année comme « le temps nécessaire pour une récolte » et le hiéroglyphe qui la désigne est une jeune pousse avec un bourgeon (renpet).
Le calendrier égyptien était basé sur les cycles lunaires (à peu près trente jours) et la récurrence annuelle du lever héliaque de Sirius, vers le 19 juillet de notre calendrier. L'année était divisée en trois saisons en fonction de la crue du Nil et de son impact sur l'environnement :
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Akhet (Akhit) « Inondation » (3ḫt) |
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Peret (Perit) « Émergence (des terres) » (prt, décrue du Nil, germination, saison fraîche) |
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Chemou (Shemou) « Chaleur » (šmw, été, saison des récoltes et de leur taxation) |
Chaque saison comprenait quatre mois de trente jours chacun. Les cinq jours restants (six à partir de l'époque romaine) étaient appelés jours additionnels ou épagomènes. Ils étaient ajoutés à la fin du calendrier, entre le dernier jour de la saison Shemou et le premier jour de la saison Akhet. Les jours épagomènes étaient considérés comme jours de naissance des grands dieux d’État qu'étaient, dans l'ordre, Osiris, Horus l'Ancien, Seth, Isis et Nephthys. Chaque mois était découpé en trois périodes de dix jours, les décades. Les journées avaient une durée de vingt-quatre heures.
L'année de la création de ce calendrier, le premier jour de la saison Akhet correspondait approximativement au début de l’inondation. Pour les Égyptiens, la montée des eaux était un événement majeur à plus d’un titre : d’une part, elle mettait fin à la saison sèche, et d’autre part, de son importance dépendait la qualité des récoltes, une crue trop faible pouvant entraîner une famine alors qu'une crue trop forte pouvait causer des inondations dévastatrices. La montée des eaux intervenait peu de temps après le lever héliaque de l'étoile Sothis (Sirius) dans le ciel égyptien. L'apparition de l'étoile constituait un repère indispensable au paysan égyptien, qui ne pouvait se fier au calendrier civil en raison d’un décalage de plus en plus important entre l’année civile de 365 jours et l’année solaire, année de 365 jours et 6 heures à peu près. Ce décalage était d’environ un jour tous les quatre ans. Cependant, après 1460 ans, il y avait de nouveau concordance entre les calendriers civil et solaire, le lever héliaque de Sothis coïncidant de nouveau avec le premier jour de la saison Akhet. Cette période de 1460 ans est appelée période sothiaque par les astronomes ; elle permet d’établir la chronologie de l’histoire pharaonique, car les Égyptiens ignoraient les dates absolues.
Avant même l'époque où, grâce à Champollion, on a pu lire les hiéroglyphes, on connaissait l'existence de cette période de 1460 ans :
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Censorinus affirme qu'en l'an 139 de notre ère, le jour du lever de Sirius tombait le « Thôt » et qu'alors débutait une période qu'il appelle « Grande Année » ; on en déduit donc les dates des autres concordances = 139, -1321, -2781, -4241, etc. Thôt » et qu'alors débutait une période qu'il appelle « Grande Année » ; on en déduit donc les dates des autres concordances = , , , , etc.
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L'astronome Théon de Smyrne écrit que « du pharaon Ménophrès jusqu'au début de Dioclétien (284), il s'est passé 1605 ans » ; en ôtant 1605 de 284, on obtient -1321, date qu'il donne comme le commencement d'une période sothiaque.
Par la suite, on a pu relever cette période sur d'autres documents :
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au verso du papyrus médical Ebers, on trouve un calendrier qui donne une date sothiaque et une liste de fêtes associées.
Bien qu'ayant abandonné très tôt leur calendrier astronomique pour un calendrier civil, les Égyptiens ne s'étaient pas pour autant désintéressés de l'astronomie, bien au contraire. On leur doit notamment les plus anciennes cartes du ciel connues et l'on sait qu'ils avaient une connaissance approfondie des phénomènes astronomiques, connaissance basée sur l'observation quotidienne et méthodique des astres.
Les astronomes grecs empruntèrent leur calendrier civil aux Égyptiens et, avec quelques modifications, il fut utilisé jusqu'à la fin du Moyen Âge.
SAISON
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MOIS
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NOM
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REPRÉSENTATION
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Akhet (inondations)

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1
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Thot |
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2
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Phaophi |
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3
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Athyr |
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4
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Khoiak |
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Péret (germinations)

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1
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Tybi |
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2
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Mekhir |
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3
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Phamenoth |
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4
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Pharmouthi |
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Chémou* (moissons)

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1
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Pakhon |
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2
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Payni |
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3
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Epiph |
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4
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Mesorê |
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Commentaire de Lord Asiel (28/01/2011 13:20) :
Pas facile à comprendre leur calendrier.
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Commentaire de salie001 (16/07/2020 14:00) :
Félicitation pour votre site! Vraiment, il est génial et comme j'ai vu dans
les premiers posts c'est vrai que partages et interface du site sont
vraiment une aubaine pour bosser le style. Vraiment un grand merci !
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Ahmès-Néfertari I
24/01/2011 13:43
Ahmès-Néfertari I (ou Ahmose-Néfertari) est une Reine d'Égypte de la XVIIIe dynastie. Elle est la fille du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554, XVIIe dynastie) et de la Reine Iâh-Hotep I (ou Ahhotep I), comme l'indique une inscription sur un vase du Sinaï. Elle est la sœur et l’épouse du Roi Ahmès I (ou Ahmôsis, 1549-1525/24), premier Roi de la dynastie. Elle l'épouse entre l'an 18 de son règne, car elle est absente de la stèle de Hanovre, datée de cette date, et l'an 22, où là elle est mentionnée sur la stèle de Maasara. Elle va survivre à son époux et passe aussi tout le règne de son fils Amenhotep I (1525/24-1504) et est encore présente aux côtés de la Reine Ahmès (Peut-être sa petite-fille), Grande Épouse Royale de Thoutmôsis I (1504-1492).
Certains spécialistes pensent qu'elle exerça une sorte de "corégence" avec Ahmès I, tant son implication et association au pouvoir avec son époux a été importante. Ce qui est sur c'est qu'elle est un des grands personnages politiques du début de la dynastie. Après la mort d'Ahmès I, elle participe activement au redressement de l’unité du pays, sur les plans économique et politique, que son fils met en place.
La Reine forme d'ailleurs avec Amenhotep I un couple qui fut divinisé. Tous deux deviennent pour les Égyptiens les protecteurs et maîtres de la ville de Thèbes. Leur image sera présente dans des tombes de notables de la capitale. Ahmès-Néfertari I sera particulièrement vénérée à Deir el-Médineh. Célébrée comme l'ancêtre bienfaisante des dynasties suivantes, elle est représentée avec les mêmes attributs qu'une Déesse. Elle est notamment assimilée à Isis et Hathor. On retrouve ses titres (voir ci-dessus) sur la stèle de la donation et la sur la stèle de Maasara. Celle-ci a été trouvée lors des fouilles de la nécropole d'el-Maasara (Quartier d'Helwan ou Hélouan, Sud d'el-Maadi, au Caire). Sur cette stèle, on voit l'inscription de la date d'un titre de trésorier du Roi, ainsi qu'une évocation de la Reine Ahmès-Néfertari I.
La Reine est aussi à l'origine d'un très grand nombre de travaux de reconstruction de temples. Son nom apparaît sur de nombreux monuments de Saï à Tura. C'est une femme très religieuse et alors qu'elle porte le titre de Grande Épouse Royale (HmT nswt wrT) elle sera la première à exercer officiellement la fonction sacerdotale d'Épouse du Dieu Amon. Elle fera édifier une stèle célébrant l'instauration de cette fonction. Fonction qui évoluera lors de la Troisième Période Intermédiaire où le ministère "d'Épouse du Dieu Amon" sera attribué à une des filles du Pharaon (Voir les Divines Adoratrices d'Amon). En l'an 18 (ou 22) du règne d'Ahmès I, elle renonce à ce titre pour prendre celui de "Divine Épouse d'Amon". Cette fonction ayant aussi pour but de resserrer les relations entre la dynastie et le clergé d'Amon.
Le texte de la stèle mise au jour dans le temple de Karnak, explique clairement la fondation et les principales retombées économiques qui furent consécutives à la création de cette fonction. Par cette charge, la Reine va bénéficier d'une donation en propriétés terriennes, en mobilier, en demeures, en bijoux et onguents, en vêtements, qui lui permettra d'entretenir l'institution religieuse et économique qu'elle fonde. Ce collège de Prêtresses à Karnak, sera une véritable institution dans la religion d'Amon. Certains égyptologues affirment qu'elle n'a pas occupé le poste elle-même, mais que le titre lui a été donné à titre posthume.
Ahmès-Néfertari I va participer à un grand nombre de cérémonies qu'elle dirigera. La puissance et le prestige de la Reine va devenir extrêmement important. Elle deviendra la contre partie féminine du Grand Prêtre d'Amon, occupant la tête du clergé Thébain. Elle gardera une notoriété posthume, qui lui vaudra jusqu'à la Basse Époque d'être représentée sur de multiples objets, statues et statuettes. On a retrouvé 70 scarabées à son nom. On a également mis au jour plusieurs stèles qui la mentionnent. Notamment deux qui ont été trouvées dans les carrières de calcaire de Ma'Sara et qui datent de l'an 22 du règne d'Ahmès I. Celles-ci la présentent comme : Grande Épouse Royale (HmT nswt wrT) et Mère du Roi (mwt-niswt). Ce dernier titre pose une interrogation aux spécialistes, car du fait qu'elles furent érigées sous le règne d'Ahmès I, cela voudrait dire que son fils Amenhotep I fut couronné du vivant de son père et donc qu'il y eut une corégence ?. La question reste posée. Elle sera la dernière Reine à être adorée comme une divinité dans un culte funéraire de Thèbes jusqu'à l'époque du Grand Prêtre d'Amon, Hérihor (1080-1074) au début de la XXIe dynastie.
Ahmès-Néfertari est figurée la plupart du temps avec la peau noire et les attributs d'une Déesse, comme sa statue en bois bitumée, coiffée de hautes plumes, qui était promenée lors des processions (Aujourd'hui au musée du Louvre). Elle est enterrée, avec son fils, dans la nécropole Thébaine, de Dra Abou el-Naga, mais sa momie se trouvait dans la cachette de la tombe DB320 de Deir el-Bahari, découverte en 1881. Son examen permet d'affirmer qu'elle était vraiment de peau blanche et qu'elle mesurait 1 m 61. Elle serait décédée à l'âge de 55/60 ans (D'autres sources donnent 70 ou 75 ans).
Le tombeau ANB d'Amenhotep I et de sa mère a été découvert avant 1907. Pour Howard Carter, le tombeau a contenu la double sépulture. La tombe semble avoir été creusée en deux fois et la chambre funéraire a été prolongée. Les changements peuvent refléter l'expansion du tombeau pour la Reine Ahmès-Néfertari I ou pour recevoir le ré enterrement du Roi. Dans le tombeau il y avait des fragments de vase en pierre avec des inscriptions d'Apophis, de la Princesse Heret, du Roi Ahmès I (ou Ahmôsis, 1549-1525/24), d'Ahmès-Néfertari I et d'Amenhotep I.
Ahmès-Néfertari a cinq ou six enfants avec Ahmès I:
Trois ou quatre fils :
▪ Ahmès-Sipair (ou Ahmosé-Sipair ou Ahmosé Sapaïr). Il y a peut-être confusion avec le Ahmès-Sipair probablement fils du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554) et de la Reine Iâh-Hotep I (ou Ahhotep I). Ce Prince est aussi souvent confondu avec un autre enfant d'Ahmès I, Ahmès-Ânkh (ci-dessous). Il est semble t-il mort jeune.
Siamon (ou Siamun ou Saamen, "Fils d'Amon"), qui serait son 2e fils. Lui aussi serait mort très jeune, encore enfant. Sa momie a été retrouvée avec celle de son père et de sa mère dans la cachette de la tombe DB320 de Deir el-Bahari, découverte en 1881.
▪ Amenhotep I qui est son troisième fils et qui succède à son père. Il épousera sa sœur Ahmès-Méritamon.
▪ Ahmès-Ânkh (ou Ahmosé-Ânkh), dont on ignore tout. Il n'est représenté que sur un blocs à Karnak, actuellement au musée de Louxor, et en tant qu'aîné des fils d'Ahmès I et Prince héritier, au côté de ses parents, sur la "stèle de la donation". Cette stèle se trouve aussi aujourd'hui au musée de Louxor. Il mourut semble t-il jeune, avant son père. Selon certains spécialistes, il ne serait qu'un seul et même personnage avec Ahmès-Sipair (ou Ahmosé-Sipair ou Ahmosé Sapaïr), ci-dessus, autre Prince donné comme fils d'Ahmès I, mais aussi de Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554) ?.
Deux ou trois filles :
▪ Ahmès-Méritamon (ou Meritamun ou Ahmosé-Mérytamon), "Enfant de la Lune, bien-aimée d'Amon", sa file aînée, qui devient la Grande Épouse Royale de son frère d'Amenhotep I. Sa momie a été retrouvée avec celle de son père et de sa mère dans la cachette de Deir el-Bahari. Elle est probablement morte jeune à une trentaine d'années.
▪ Sitamon (ou Ahmosé-Sitamon ou Sat-Amon ou Ahmès Sat-Amon), "Enfant de la Lune, fille d'Amon", elle est, selon beaucoup de spécialistes, la deuxième fille probable d'Ahmès-Néfertari I. Elle portait les titres : d'Épouse du Dieu vivant (HmT-nTr), Fille du Roi (s3T-niswt-nt) et Sœur du Roi (snt-niswt). Sitamon est peut-être morte très jeune, comme le montre sa momie retrouvée sur une natte de roseaux dans un cercueil d'enfant, dans la cachette de Deir el-Bahari. Cependant, cette momie était dans un très mauvais état et il y avait à côté d'elle d'autres morceaux de momie qui rendent très difficile une reconstruction. La momie avait une blessure au crâne et il n'y avait que quelques os. On ignore encore si cette "blessure" a un rapport avec sa mort, ou est due aux pilleurs de tombes qui l'auraient endommagé. Certains spécialistes avancent qu'elle aurait pu être ré inhumée ultérieurement, au cours de la 8e année du règne de Psousennès I (1039-991).
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Iâh-Hotep III (ou Aahotep ou Ahhotep) qui serait la troisième fille de la Reine. Selon de nombreux spécialistes, elle serait la sœur et une des épouses d'Amenhotep I et selon Nicolas Grimal (entres autres) la mère d'Aménémès (ou Amenemhat), qui mourut en bas âge
et dont les restes ont été retrouvés dans la cachette de Deir el-Bahari. Certains pensent qu'il y a confusion avec Iâh-Hotep II épouse de Kamosé. Enfin, il y a une autre théorie selon laquelle elle aurait peut-être été la grand-mère d'Amenhotep I, dans ce cas il y a confusion avec Iâh-Hotep I ?. Le débat reste ouvert.
Commentaire de salie001 (16/07/2020 14:00) :
Mes vives félicitations pour votre site! Ça m'a beaucoup aidé et plu,
surtout que tous vos partages sont intéressants. Longue vie à votre site.
Surtout ne vous découragez jamais ; votre blog est vraiment au top !
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le Pharaon Shepseskaf
03/01/2011 13:41
Manéthon l'appelle Sebercherês ou Seberchérès et lui compte sept ans de règne. Le Papyrus de Turin a une lacune sur son nom et lui en compte quatre ans, il en est de même pour la Liste de Saqqarah. Par contre, il est mentionné sur la Pierre de Palerme. Selon certains spécialistes, il n'aurait peut-être pas régné tout de suite après la mort de son père, quoi qu'il en soit la durée exacte de son règne est encore aujourd'hui pure spéculation. Sa dernière année connue serait celle où un premier décompte du bétail, aux fins de recouvrement de l'impôt, aurait eu lieu. Comme on ne sait pas si ce comptage avait lieu tous les ans ou tous les deux ans la durée de règne du Roi serait entre 3 et 5 ans. La majorité des égyptologues ont adopté pour une longueur de 4 à 5 ans. Sa première année nous est en partie connue par la Pierre de Palerme. Il serait monté sur le trône le 25e jour, du 4e mois (Pharmouti) de la saison Peret.
Il édifie pour lui-même un curieux monument au Sud de Saqqarah qui n'est pas une pyramide, mais est une forme de mastaba. Des restes de statues à l'effigie du Roi ont été retrouvés dans ce complexe funéraire dont deux têtes exposées au musée du Caire. Le fait que Shepseskaf ne construise pas son tombeau au même endroit que ses prédécesseurs, est vu par certains égyptologues comme un signe de changement de religion et de croyance. Sous son règne on assiste en effet à la remise en question du culte de Rê et le Roi aurait souhaité ne pas construire en face d'Héliopolis.
D'autres spécialistes y voient comme une volonté de se démarquer de la politique de ses ancêtres. Certains donnent comme preuves que les immenses constructions de Khoufou (ou Khéops) et de Khafrê (ou Khéphren) avaient complètement épuisées les richesses de la famille royale. Ce dernier argument, cependant est contredit par le fait que Shepseskaf ait terminé le temple funéraire de son père Menkaourê. Dans l'attente d'autres découvertes le débat reste ouvert.
Shepseskaf à deux épouses.
¡ñ Sa demi-sœur (ou sœur) Khentkaous I (Selon certaines sources) qui occupe une place importante entre les deux dynasties, mais il y a une polémique entre les égyptologues sur son histoire. Soit elle est l'épouse de Shepseskaf, soit celle d'Ouserkaf (2465-2458, Ve dynastie) qui est aussi donné comme son fils. Il y a pratiquement les mêmes suppositions sur cette Reine que sur Néferhétepès, en tout cas en ce qui concerne son mariage éventuel avec Ouserkaf.
¡ñ Bounéfer, qui selon quelques spécialistes serait la fille de Shepseskaf et aurait pratiqué elle-même les rites funéraires lors de l'enterrement de celui-ci. Elle est enterrée à Guizèh (G8408). Elle lui donne deux enfants :
▪ Djédefptah, dont la filiation est contestée par certains, qui lui succède.
▪ Khâmaât qui épouse le Grand Prêtre de Memphis, Ptahshepses (ou Ptahchepsès)
Commentaire de salie001 (16/07/2020 14:00) :
Je vous remercie énormément pour toutes vos propositions sur ce site. Vos
partages sont très intéressants et fort enrichissants. Félicitations à
vous.
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